Non non, il n'y a pas de faute dans le titre, c'était pour une "cokine" de ma connaissance :-D
Bisous à toi ma cokine, si par le plus grand des hasard tu passes un jour ici.
Après avoir traversé
Cette immense forêt
Nous voici enfin seuls
Près de ce grand tilleul
Pas très loin une rivière
Bordant cette clairière
Nous entendons murmurer
Le vent dans les cyprès
Le soleil nous a échauffé
Nous partons nous baigner
Devant moi vers la plage
Tu cours tel un mirage
Ta longue chevelure brune
Tes fesses comme la lune
Me font accélérer
Et derrière toi plonger
La fraîcheur m'empoigne
Mais déjà tu t'éloignes
Je nage à ta poursuite
Pour arrêter ta fuite
Tu me nargues au loin
Avec ton rire coquin
Puis tu reviens vers moi
Avec un air narquois
Tu sors un peu de l'eau
Ton tee-shirt colle à ta peau
Et pointent tes tétons
durcis sous le coton
Ton petit short te moules
Au-dessous tes fesses roules
Et je l'avoue m'affolent
Et mes jambes flageolent
Nager ne t'as pas refroidie
Cette fraîcheur m'a enhardi
J'approche à pas de loup
Viens t'embrasser dans le cou
Tes vêtements sont mouillés
Dur de te déshabiller
Je découvre tes petits seins
Les caresse de mes mains
Tu ôtes ma chemise
Mais soudain te ravises
Tu préfères t'allonger
Me laisser te dénuder
Je me bats avec ton short
Puis ôte ta culotte
Te voilà maintenant nue
A tes fins je suis parvenu
Sur mes tétons tu poses tes lèvres
En de petites caresses brèves
Je sens en moi de doux frissons
Quand tu baisses mon pantalon
Ton souffle chaud en un certain endroit
Le petit baiser que tu poses parfois
Cette chaleur que tu réveilles
Ne provient pas du soleil
Tu me pousses par terre
De tes lèvres tu me serres
Ce que le froid avait fait
Ta langue le défait
Mais tu veux aussi profiter
Car tu es toute excitée
Contre ma bouche tu viens déposer
Ton minou fraîchement rasé
De ma langue je le caresse
Contre mon nez tu te presse
Avec tes mains tu vas et viens
Avec tes dents tu me retiens
Ton sexe lentement s'ouvre
De mes lèvres je le recouvre
Tu glisses ta langue sur le mien
Tu utilises tous les moyens
Pour que peu à peu monte en moi
Un merveilleux émoi
Pendant que je viens m'appliquer
A te faire chavirer
Tu coules maintenant
un liquide suintant
Que je viens avec avidité
De ma langue goûter
Pendant que de ton côté
Tu m'as décalotté
Et que tes lèvres maintenant
s'activent rapidement
Monte alors avec puissance
Un incroyable jouissance
Qui viens nous remuer
Et nous laisse exténués
le 17/06/2006 © JFP